Dans une de ses Tribunes, le mouvement associatif «Club Bunker» à travers sa structure dénommée Collectif d’intellectuels et de citoyens engagés, fait un constat amer au sujet des choix des animateurs des institutions et services publics de l’Etat. Il dénonce notamment la primauté accordée au militantisme et au clientélisme en lieu et place de l’expertise, de la méritocratie et du patriotisme dans les choix des décideurs. Les véritables bâtisseurs silencieux de la République sont, pour la plupart, tombés dans les oubliettes lorsqu’il s’agit des grands enjeux politiques, estime le Club Bunker qui plaide qui met en exergue les qualités de M. Jean Aimé Mbiya.
En République Démocratique du Congo, les grandes mutations politiques s’affichent souvent avec éclat. Mais derrière les discours de rupture, de changement ou de renaissance institutionnelle, les pratiques demeurent tenacement ancrées dans des logiques anciennes. Trop souvent encore, les nominations à des fonctions stratégiques s’opèrent non sur la base du mérite ou de la compétence, mais selon des équilibres politiques, des amitiés personnelles, des fidélités circonstancielles ou des deals d’alliances.
Dans ce paysage, certaines figures brillent par leur absence dans les cercles du pouvoir, malgré des parcours exemplaires. Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza fait partie de ces personnalités que l’on peut qualifier de bâtisseurs silencieux. Haut cadre de l’UDPS/Tshisekedi, il s’est imposé depuis plus de vingt ans comme un acteur crédible, méthodique et intègre, aussi bien dans l’administration publique congolaise que dans la sphère du développement international. Pourtant, son nom reste absent des grandes recompositions institutionnelles, là où son expertise pourrait pourtant être mise au service d’un État en quête de performance.
Loin des projecteurs, Jean Aimé Mbiya a contribué à faire avancer des causes fondamentales. Son engagement dans le ministère du Budget durant les années de transition, sa gestion rigoureuse d’organisations humanitaires aux États-Unis, ainsi que sa participation à des programmes structurants dans la société civile, témoignent d’un professionnalisme reconnu aussi bien au pays qu’à l’étranger. Ce profil à la fois national et international, rare dans les sphères congolaises, constitue un atout stratégique pour toute ambition de réforme sérieuse et durable.
La République a souvent tendance à ne valoriser que ceux qui savent se vendre, parler fort ou occuper les plateaux. Or, les véritables réformateurs ne sont pas toujours bruyants. Ils sont dans les bureaux, dans les chiffres, dans les idées, dans la rigueur. Jean Aimé Mbiya appartient à cette génération d’hommes de dossiers, attachés à la qualité de l’action publique plus qu’à l’agitation médiatique. Et c’est précisément ce type de profil qu’il faut aujourd’hui revaloriser pour remettre l’État au service du citoyen.
Alors que le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, réaffirme sa volonté de « gouverner autrement », l’heure n’est plus aux slogans sans consistance. Gouverner autrement implique de repenser les critères de confiance, de réinvestir dans l’excellence technique et de construire une administration performante avec ceux qui ont fait leurs preuves. Ne pas inclure des profils comme celui de Jean Aimé Mbiya dans les grands chantiers de l’État reviendrait à prolonger l’ancien système sous de nouveaux habits. Et ce serait une faute stratégique, à l’heure où la RDC a plus que jamais besoin d’un leadership enraciné dans la compétence et la loyauté.
Un parcours d’exception, taillé pour le service public et la gouvernance moderne
Dans un contexte politique où le Congo cherche à reconstruire la confiance entre l’État et les citoyens, le pays a plus que jamais besoin de visages nouveaux, compétents, éthiques et expérimentés. Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza incarne cette rare alchimie entre technicité, loyauté politique et engagement citoyen. Il n’est ni le fruit du clientélisme, ni un bénéficiaire des nominations de convenance. Son parcours est le produit d’une trajectoire cohérente, d’un engagement assumé au service du peuple congolais et d’une fidélité sans faille à l’idéologie de l’UDPS.
Formé en République Démocratique du Congo, puis affiné par des expériences de haut niveau aux États-Unis, Jean Aimé Mbiya Bondo est titulaire d’un Bachelor en Administration Publique de Doane University, et d’un Master en Public Administration (MPA) de Purdue Global University.
Ce bagage académique l’a armé d’une vision systémique de la gestion publique, à l’heure où la RDC doit absolument adopter des standards de performance, de redevabilité et de transformation digitale pour répondre aux attentes des citoyens.
Mais au-delà de ses diplômes, c’est sur le terrain qu’il a forgé sa légitimité. Avec plus de 15 années de carrière au Ministère du Budget, il a occupé des fonctions clés dans la gestion de la paie publique, le contrôle des dépenses et l’évaluation des procédures administratives. Il comprend le fonctionnement de l’État congolais de l’intérieur, ses forces comme ses failles, ses lenteurs comme ses leviers. Cette connaissance précise de l’administration, conjuguée à une expérience à l’étranger, fait de lui un atout stratégique pour toute réforme sérieuse de l’appareil d’État.
Son passage aux États-Unis a été un prolongement logique de son engagement. À Lincoln Comunity Foundation, il a géré des programmes sociaux à fort impact. Il a également travaillé comme assistant administratif au Sénat de l’État du Nebraska, où il a été exposé à la rigueur du fonctionnement parlementaire américain. Puis, en 2016, il devient Directeur Exécutif de l’International American Relief Society (IARS) à Atlanta. À ce poste, il orchestre la mise en œuvre de projets multisectoriels en faveur des communautés vulnérables, développe des partenariats avec des institutions de premier plan comme USAID, l’ONU, l’UE, et met en place des mécanismes de transparence et de redevabilité dans l’utilisation des fonds.
Aujourd’hui, son profil s’impose comme une réponse concrète aux besoins urgents de l’administration congolaise : intégrer des compétences avérées, faire émerger une nouvelle gouvernance publique et réconcilier efficacité et humanisme dans la gestion des affaires de l’État. Technocrate intègre, acteur de la société civile, analyste socio-politique respecté, chrétien engagé et leader communautaire, Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza est bien plus qu’un cadre oublié : il est une opportunité pour l’État congolais de prouver qu’il peut aussi miser sur la compétence, le mérite et la loyauté au lieu des alliances de circonstance.
La récente reconduction de Jean Aimé
Mbiya par l’UDPS/Tshisekedi dans l’équipe fédérale aux États-Unis – dans une structure renouvelée à plus de 95 % – témoigne d’un fait essentiel : les vrais bâtisseurs ne passent jamais inaperçus dans la durée. Dans un pays en quête de crédibilité institutionnelle et de rupture avec l’improvisation, il serait temps de faire appel à ceux qui savent penser, agir, et faire avancer la République.
Ce double ancrage – congolais et international – confère à Jean Aimé Mbiya une valeur ajoutée unique. Il maîtrise les réalités de l’État congolais, tout en intégrant les normes de rigueur et de transparence du management public moderne. Son expérience du système américain, où les résultats priment sur les appartenances, renforce sa capacité à piloter des réformes orientées vers l’efficacité, la traçabilité et l’impact social. Dans un État comme la RDC, où la réforme de l’administration est un chantier crucial, ce type de profil est plus qu’utile : il est stratégique.
Enfin, ce qui distingue Jean Aimé Mbiya de nombreux cadres, c’est son engagement constant pour le bien commun, au-delà des postes ou des honneurs. Que ce soit au sein des ONG, dans la formation des jeunes, ou dans ses publications sur la réforme de la gouvernance en RDC, il n’a jamais cessé de proposer, d’agir et de contribuer. Il est de cette trempe de gestionnaires publics qui ne confondent pas fonction et privilège, mais qui vivent la gestion publique comme un mandat d’intérêt général. En ces temps où la RDC cherche des leaders crédibles pour incarner un tournant institutionnel, il serait inconséquent de ne pas s’appuyer sur une telle expertise.
Un militant enraciné, un bâtisseur politique et communautaire d’envergure
Dans l’arène politique congolaise où le brouhaha des ambitions personnelles brouille souvent les repères, certains parcours méritent d’être salués pour leur cohérence, leur constance et leur sens du sacrifice silencieux. Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza fait partie de ces figures qui, loin du tapage médiatique, ont porté les idéaux de l’UDPS avec humilité, intelligence et persévérance. Depuis les années 1990, à Lubumbashi, dans la commune de Katuba, aux côtés de figures emblématiques comme le feu Berthold Kibassa Maliba, Jean Aimé s’est forgé une conscience politique nourrie par l’injustice sociale, le désir de démocratie et le rêve d’un État au service du peuple.
Son engagement dans l’UDPS ne date pas d’hier. Dès 2007, installé aux États-Unis, il devient Président de Section à Lincoln, Nebraska, mobilisant la diaspora autour de la vision de feu Étienne Tshisekedi. Très vite, il gravira les échelons, jusqu’à être nommé Vice-Président Fédéral et Représentant Adjoint en charge de la Politique et de la Diplomatie pour la Fédération des USA. À ce poste stratégique, il jouera un rôle clé dans l’organisation politique de la diaspora, la coordination des cellules locales, et la représentation du parti auprès des institutions, médias et communautés africaines aux États-Unis. Il a porté haut la voix du Congo, loin du pays mais proche des réalités.
Sa reconduction récente par l’honorable Augustin Kabuya secrétaire Général et Président Ad –Intérim de l’udps/Tshisekedi au sein de la Fédération UDPS-USA, dans une équipe renouvelée à 95 %, est loin d’un simple acte administratif. Elle illustre la reconnaissance d’un leadership éprouvé, respecté pour son efficacité, son intégrité, et sa capacité à maintenir la cohésion dans un parti souvent traversé par des clivages internes. Là où d’autres ont fait de la politique une opportunité de carrière, Jean Aimé a choisi la politique comme mission civique est une vocation, fidèle à l’idéologie du parti, sans jamais céder à la tentation de la politique-spectacle.
Mais c’est surtout en dehors des projecteurs que Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza révèle sa dimension d’homme d’État en devenir. En tant que co-fondateur du REEJER (Réseau des Éducateurs des Enfants et Jeunes de la Rue), il s’est illustré comme un acteur majeur de la société civile congolaise. Ce réseau, qui regroupe aujourd’hui plus de 170 ONG, œuvre pour la réinsertion des enfants de rue, la protection des mineurs, et l’éducation des populations vulnérables. À travers cette initiative, Jean Aimé prouve que la transformation du pays ne commence pas dans les palais, mais dans les ruelles, les orphelinats, les écoles abandonnées – bref, là où l’État est le plus attendu.
Son engagement communautaire est total. Chrétien convaincu, leader associatif, conseiller stratégique pour plusieurs communautés africaines aux USA, il est souvent sollicité pour ses compétences en planification, en médiation interculturelle et en éducation civique. Il parle avec la même aisance aux institutions américaines qu’aux leaders communautaires congolais, et cela avec une humilité qui tranche avec les postures hautaines souvent associées aux élites politiques.
Aujourd’hui, alors que le Président de la République appelle à “gouverner autrement”, il est urgent de faire émerger une nouvelle élite politique et administrative – non pas fondée sur le bruit, mais sur la compétence, le sens du devoir et la proximité avec les citoyens. Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza incarne cette élite de transition, capable de porter les grandes réformes, de gérer avec rigueur, d’écouter avec empathie, et d’agir avec méthode.
Le Congo de demain ne se construira pas sur l’improvisation mais sur l’intégrité. Jean Aimé Mbiya Bondo n’a pas besoin de forcer les portes : son parcours les ouvre naturellement.
Le Congo a besoin d’un leadership compétent, pas simplement loyal
Le pays entre dans une nouvelle phase : celle du temps du bilan. Le second mandat du Président Félix Tshisekedi doit capitaliser sur les réussites, mais surtout corriger les lenteurs et incohérences qui ont freiné certaines ambitions réformatrices. Ce chantier demande des bâtisseurs de systèmes, des experts capables de traduire une vision politique en résultats concrets.
Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza ne fait pas partie des visages surmédiatisés, mais il est de ces profils qui rassurent les partenaires, fédèrent les équipes, structurent les politiques publiques, et surtout incarnent une crédibilité managériale rare. À travers ses publications et contributions stratégiques, il a déjà pensé la réforme de l’administration publique congolaise avec lucidité et patriotisme. Ce capital intellectuel doit désormais servir à plus grande échelle.
Gouverner autrement, ce n’est pas rompre avec tous les anciens. C’est savoir faire le tri entre ceux qui stagnent et ceux qui innovent, entre les slogans et les solutions, entre le bruit et l’impact.
Une opportunité pour redonner du sens à la méritocratie dans un moment charnière
Alors que la République Démocratique du Congo aborde une phase critique de sa trajectoire politique et institutionnelle, la gouvernance nationale se trouve à la croisée des chemins. Le second mandat du Président Félix Tshisekedi, présenté comme celui des réformes et du résultat, appelle une reconfiguration du leadership autour des valeurs fondamentales : mérite, compétence, intégrité, vision et efficacité. Il ne s’agit plus simplement de faire plaisir aux bases politiques ou de récompenser la fidélité. Il s’agit d’offrir des réponses concrètes aux urgences du peuple congolais : la sécurité, la gouvernance, la justice sociale et le développement inclusif.
C’est dans ce contexte que le nom de Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza s’impose naturellement. Son profil n’a pas besoin de plaidoirie opportuniste, il s’impose par la cohérence de sa trajectoire, la qualité de ses engagements, et la maturité de ses convictions. En faire un acteur décisionnel dans l’appareil d’État, ce ne serait pas lui accorder un privilège personnel, mais envoyer un signal clair : l’heure de la compétence a enfin sonné. Ce serait une reconnaissance publique de la valeur du travail bien fait, de l’expérience éprouvée et de la fidélité sans bruit aux idéaux de la République.
Ce plaidoyer dépasse le simple cas individuel. Il incarne une exigence collective : celle de voir enfin les bons profils occuper les bonnes fonctions. Le temps des équilibres politiques creux doit céder la place à une gouvernance de conviction, structurée autour de la performance et de l’impact. Il n’est plus question de nomination décorative, mais de désignation stratégique, d’alignement avec la vision présidentielle, et de capacité à implémenter des réformes transformatrices dans des secteurs clés de l’État.
Dans cette dernière ligne droite du mandat présidentiel, chaque choix compte. Il ne s’agit pas seulement de clôturer un quinquennat ; il s’agit de poser les fondations du Congo de demain. Dans cette optique, des profils comme celui de Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza apparaissent non comme des options, mais comme des impératifs structurels. Un homme qui connaît les rouages de l’administration, qui maîtrise les standards internationaux de gouvernance, qui a démontré sa loyauté au pays, et qui a gardé intacte sa capacité de mobilisation et de transformation.
Accorder à Jean Aimé une responsabilité gouvernementale, institutionnelle ou stratégique dans cette phase, c’est renforcer l’agenda de réformes porté par le Chef de l’État. C’est faire confiance à un homme qui n’a jamais réclamé, mais qui a toujours offert, un homme qui représente l’élite méritocratique que le Congo attend depuis longtemps. C’est enfin inscrire l’action publique dans la modernité managériale et la cohérence républicaine.
« L’histoire ne retiendra pas ceux qui ont accompagné le pouvoir, mais ceux qui auront aidé à transformer l’État. »
Jean Aimé Mbiya Bondo Shabanza est prêt. Le pays a besoin de sa compétence. Le Président a aujourd’hui l’occasion d’envoyer un message fort : celui de la rupture avec les pratiques du passé. Il est temps de faire confiance à ceux qui incarnent réellement l’espoir du peuple.