Déguerpissement : La famille Mputu dénonce le jugement mal exécuté par Cour d’appel de Kinshasa Matete concernant leur appartement à Gombe

Parlant au nom de la famille, Madame Euphrasie Mputu Abelehe épouse du bâtonnier Jerubbaal, dénonce le complot orchestré par la dite avocate en complicité avec les juges pour ravir cet appartement qui est un bien familial acquis depuis 2012. D’après elle,  c’est depuis 2019 que son mari avait contracté une dette de 12.000 dollars pour le compte du barreau de Maï- Ndombe auprès de Magalie Kisansa Dosi, qui a d’ailleurs remboursé avec intérêt cette somme soit 24.600 $, comme cela a été entendu entre les deux parties.

« Dans le souci de la mise en place du barreau de Maï- Ndombe en 2019, mon mari avait contacté une dette de 12.000 $ dollars auprès de l’avocate Magalie Dosi Kisansa, ce, pour le compte du barreau. D’après leurs engagements, le barreau devrait rembourser cet argent avec intérêt endéans trois mois, soit 24600$. Comme cette avocate avait exigé quelque chose comme garantie avant de libérer l’argent, mon mari était obligé de remettre le document de notre appartement de la Gombe…»,  

Elle est étonnée jusqu’à ce jour de constater que, malgré le fait que les documents de l’appartement ne sont jamais remis à la famille et traînent entre les mains de Magalie Kisansa, cette dernière continue d’ester son mari en justice , cette-fois ci au tribunal de Paix. D’où son appel lancé aux autorités compétentes pour l’application de l’état de droit prôné par le chef de l’État.

«Sur 12.000 dollars de la dette contractée, mon mari a remboursé 24.600$ au barreau de Matete, nous avons de reçu. C’est d’ailleurs le bâtonnier Coco Kayudi Misamu qui l’avait entendu. La famille est étonnée d’apprendre que cette affaire continue toujours,  les documents de l’immeuble ne sont toujours pas remis à la famille, Magalie Dosi continue d’accuser mon mari au niveau de certaines juridictions », a dit l’épouse Mputu

Jusqu’à ce jour cet appartement qui servait de bureau au bâtonnier de Maï Ndombe, loge des policiers sur instruction de la plaignante Magalie kisansa Dosi qui se dit membre de l’Union sacrée. 

Les plus consultés