La dernière sortie médiatique du Président Tshisekedi a été commentée différemment par les acteurs de la société civile, politiques de la majorité et l’opposition congolaise.
Évoquant la situation à l’Est, le Président de la République Félix Tshisekedi a dit qu’il est disposé de «parler» avec son homologue rwandais le Président Paul Kagame pour savoir «pourquoi il tue dans son pays la RDC».
Le mot «parler = discuter » qui a plus attiré l’attention de Tony Cassius Bolamba, Consultant international et Gouverneur honoraire de l’équateur qui dans quelques lignes, a salué la position du président Tshisekedi Tshilombo.
Pour ce candidat présidentielle de 2023 «Parler», enlève les incompréhensions, résout beaucoup des problèmes, ouvre la porte et montre la direction de la paix.
«J’ai retenu le mot parler, et en homme libre et éclairé, je soutiendrais notre Président de la République dans cette voie. Car j’estime que parler enlève les incompréhensions, résout beaucoup des problèmes, ouvre la porte et montre la direction de la paix. Au commencement était la parole. J’ai dit», a-t-il conclu
Le Président de la république, Félix Antoine Tshisekedi, a lors de l’interview avec Christian Lusakweno et Baudoin Amba Wetshi à partir de Bruxelles revenu sur les questions d’actualité en RDC, notamment la situation sécuritaire dans l’Est, sous un ton ferme, le président révèle qu’il sera hors de question pour lui de négocier avec mes rebelles M23 ou de l’AFC, mais plutôt dialoguer directement avec le président rwandais, Paul Kagame, qu’il a qualifié de « criminel ». »Ce que je veux, c’est discuter avec Paul Kagame, criminel de son état, pourquoi il tue dans mon pays », a-t-il ajouté.
Félix Tshisekedi a souligné que son objectif n’était pas de négocier pour intégrer des combattants dans l’armée congolaise, mais plutôt de comprendre les motivations du Rwanda. « Ce n’est pas de négociation pour arriver au mixage des combattants dans l’armée. C’est ce que je veux discuter avec Paul Kagame. »